Thé noir de Gokase, Benifûki
J'avais présenté il y a quelques semaines le très intéressant thé noir de Gokase par M. Miyazaki fait à partir du cultivar Benihikari, et voici maintenant (comme promis) un Benifûki printemps 2017 du même producteur.
Il suffit de mettre son nez dans le sachet : pas de doute, fruité et légèrement, il s'agit bien d'un Benifûki, ce cépage / cultivar majeur à thé noir japonais.
Pour ce thé, on pourra procéder aussi bien à une infusion classique longue (2-3 min, 3-4g de feuilles pour 150ml d'eau) qu'à des infusions multiples, plus chargées et plus courtes, en gaiwan par exemple.
Le parfum est typique de Benifûki, fruité (abricot, banane, etc), sucré et velouté.
L'attaque a de l'impact mais sans agressivité. Le thé est très fluide en bouche, avec cependant une légère et élégante astringence que j'aime a retrouver dans les thés noirs. L'impression est très aromatique, très riche, aussi bien dans le finish que dans l'after. En refroidissant, on trouve des arômes épicés, là encore très gourmands.
Si la méthode en infusion multiples donne en deuxième et troisième infusion un thé moins dense, on gagne encore en fluidité et l'after demeure très riche. Aussi, on voit alors apparaître des arômes d'agrumes.
L'impression générale après dégustation est celle d'un thé noir typique, très agréable et équilibré, à déguster sans ajout de lait. C'est aussi un thé noir qui met très bien en avant les caractéristiques de Benifûki, fruité dans le arômes, mais puissant avec sa texture vive et affûtée en bouche.
Pour ceux qui veulent découvrir pour la première fois un thé noir Benifûki, je recommanderai d'abord celui de Ashikita, mais en deuxième lieu ce thé noir de Gokase sera un bon choix. Mais surtout, je recommande très vivement la dégustation de ce Benifûki en parallèle avec le Benihikari du même producteur. Ces deux thés noirs de Gokase donneront ainsi une très bonne idée des caractéristiques et différences entre ces deux cultivars à thé noir. Ils offriront aussi beaucoup de plaisir, chacun avec des sensations différentes.
Il suffit de mettre son nez dans le sachet : pas de doute, fruité et légèrement, il s'agit bien d'un Benifûki, ce cépage / cultivar majeur à thé noir japonais.
Pour ce thé, on pourra procéder aussi bien à une infusion classique longue (2-3 min, 3-4g de feuilles pour 150ml d'eau) qu'à des infusions multiples, plus chargées et plus courtes, en gaiwan par exemple.
Le parfum est typique de Benifûki, fruité (abricot, banane, etc), sucré et velouté.
L'attaque a de l'impact mais sans agressivité. Le thé est très fluide en bouche, avec cependant une légère et élégante astringence que j'aime a retrouver dans les thés noirs. L'impression est très aromatique, très riche, aussi bien dans le finish que dans l'after. En refroidissant, on trouve des arômes épicés, là encore très gourmands.
Si la méthode en infusion multiples donne en deuxième et troisième infusion un thé moins dense, on gagne encore en fluidité et l'after demeure très riche. Aussi, on voit alors apparaître des arômes d'agrumes.
L'impression générale après dégustation est celle d'un thé noir typique, très agréable et équilibré, à déguster sans ajout de lait. C'est aussi un thé noir qui met très bien en avant les caractéristiques de Benifûki, fruité dans le arômes, mais puissant avec sa texture vive et affûtée en bouche.
Pour ceux qui veulent découvrir pour la première fois un thé noir Benifûki, je recommanderai d'abord celui de Ashikita, mais en deuxième lieu ce thé noir de Gokase sera un bon choix. Mais surtout, je recommande très vivement la dégustation de ce Benifûki en parallèle avec le Benihikari du même producteur. Ces deux thés noirs de Gokase donneront ainsi une très bonne idée des caractéristiques et différences entre ces deux cultivars à thé noir. Ils offriront aussi beaucoup de plaisir, chacun avec des sensations différentes.
Bonjour, j'ai une petite question à propos du cultivar Benifûki.
RépondreSupprimerSur le site de vente, il est indiqué qu'il s'agit d'un hybride entre le cultivar Benihomare et un cultivar chinois. Mais en cherchant un peu différentes informations à propos du cultivar, d'autres mentionnent un croisement entre le Benihomare et le MakuraCd86, d'origine Indienne.
Auriez vous des pistes à me proposer ?